Littératures québécoise et acadienne
Au prisme de la ville
La ville est appréhendée ici comme un prisme à travers lequel des écritures (1950-2010) ont pu dire un programme littéraire, une (des) appartenance(s), un désir de recommencement. Occasion de cerner ce que pourrait représenter une « littérature urbaine » à partir du corpus choisi (Québec, Acadie), en lien avec les scansions d’une histoire au pluriel. S’esquisse aussi, notamment au contact des écrivains de la migrance, une chronotopologie fondée sur les possibilités de figurations du temps données par l’objet urbain lorsqu’il se textualise.
Avec le soutien de l’université de Poitiers (France) et celui des universités du Nouveau-Brunswick et de Moncton (Canada).
Version
Papier
Disponible
24.00 €
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