Pratiques religieuses, mémoire et identités dans le monde gréco-romain
Ackermann Delphine (sous la direction), Lafond Yves (sous la direction), VINCENT Alexandre (sous la direction)
Dans les mondes antiques comme pour d’autres périodes historiques, les liens du fait religieux avec le social et les conduites de vie constituent un thème privilégié de l’histoire culturelle. La religion a une fonction d’intégration et de socialisation en tant que cadre éthique et normatif déterminant l’action des individus et des communautés. Elle offre un cadre propice à la transmission de valeurs, de référents et de comportements constitutifs de la dynamique du souvenir culturel.
Une perspective sur le long terme a été adoptée ici sur le rôle de la mémoire, dans un cadre élargi au monde gréco-romain. Cette dimension revêt une importance particulière, puisqu’elle engage à réfléchir à d’éventuelles évolutions ou transferts des pratiques. Il s’agit donc de scruter les efforts de mémoire dont nos sources témoignent dans la sphère des pratiques religieuses, en lien avec la construction des identités.
Avec le soutien de l’université de Poitiers
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