Le Nouveau Roman : une césure dans l'histoire du récit
Voici 50 ans le Nouveau Roman entrait dans les programmes de littérature. Il était médiatisé par la presse, l'université, de grands débats. Il subvertissait le récit. Le présent essai constitue pour le public une mise au point sur cette césure, sur ses prolongements critiques actuels, sur ses rapports (longtemps contestés) avec l'histoire contemporaine, sur les échos renvoyant aux autres arts.
Avec une préface de François Dosse.
Avec le soutien du laboratoire CELLAM de l'université Rennes 2.
- Sommairekeyboard_arrow_down
Préface de François Dosse
éléments d'histoire : une césure très médiatisée
- Années 1950 : émergence du Nouveau Roman
- Années 1960 : conflits et avancées
- Après 1968 : Les grands colloques Du formalisme à la «nouvelle autobiographie»
- Continuités
Subversions
- L'intrigue ? «Ni queue ni tête»
- Des personnages ?
- L'invasion du descriptif
- Une énonciation déconcertante
Le questionnement obstiné du sens
- Le sujet : retour ou permanence ?
- Le Nouveau Roman et l'Histoire
Dans la mouvance des esthétiques
- Littérature et autres arts
- De la problématique de la représentation à la poésie
- Vue d'ensemble : césure et continuités
- Auteur(s)keyboard_arrow_down
Francine Dugast-Portes, spécialiste de littérature française contemporaine, professeur émérite à l'université Rennes 2, ancienne directrice de l'Institut national de recherche pédagogique, membre du laboratoire CELLAM, a composé des ouvrages sur l'image de l'enfance, sur Colette, sur Annie Ernaux, sur le Nouveau Roman. Elle a participé à plusieurs Histoires de la littérature du XXe siècle et consacré des articles et notices de dictionnaires à de nombreux écrivains des XXe et XXIe siècles.
- Fiche techniquekeyboard_arrow_downNb de pages : 402
- Introduction, table des matières, 4e de couverture et autres documentskeyboard_arrow_down