
Kateb Yacine et l'étoilement de l'œuvre
Authier François-Jean (présentation de l'édition), Camelin Colette (présentation de l'édition), Julien Anne-Yvonne (présentation de l'édition)
« Je crois bien que je suis l’homme d’un seul livre » affirme Kateb Yacine en 1967. « À l’origine, c’était un poème qui s’est transformé en romans et en pièces de théâtre, mais c’est toujours la même œuvre que je laisserai comme je l’ai commencée, c’est-à-dire à la fois à l’état de ruines et à l’état de chantier. » Vingt ans après la mort du poète, il paraît opportun de proposer une lecture de cette œuvre unitaire et étoilée, à partir d’outils critiques diversifiés (narratologie, sociocritique, poétique des genres), en s’intéressant à la manière dont les forgeries de l’écrivain, en prise sur la réalité de l’histoire algérienne, témoignent d’une énergie du renouvellement, qui n’exclut pas le détour par le territoire des ancêtres, « la plus forte des multitudes ».
- Sommairekeyboard_arrow_down
- Auteur(s)keyboard_arrow_down
- Fiche techniquekeyboard_arrow_down
- Introduction, table des matières, 4e de couverture et autres documentskeyboard_arrow_down