
Parodies d'opéra au siècle des Lumières
Évolution d'un genre comique
Parodier l'opéra, ce n'est pas écrire contre l'opéra, mais plutôt participer à sa promotion en jouant le double jeu de la critique et du divertissement. Fuzelier, Favart, Romagnesi ou Despréaux manient autant l'art des vaudevilles que celui du pastiche et ils possèdent une riche culture littéraire et musicale. De Lully à Gluck, rares sont les œuvres à succès qui n'ont pas été parodiées. Retracer l'histoire de cette pratique permet d'entrer dans les arcanes de la vie théâtrale des Lumières, où les frontières entre culture populaire et culture élitiste sont brouillées, où l'opéra, l'opéra-comique et la parodie évoluent sans se quitter des yeux.
Avec les soutiens de l'Agence nationale de la recherche au sein du programme POIESIS et de l'université de Nantes.
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