Dick May, une femme à l’avant-garde d’un nouveau siècle
1859-1925
Enveloppée dans un pseudonyme masculin aux sonorités américaines, Jeanne Weill a cherché à se dissimuler dans un univers hostile aux femmes. Elle a en partie réussi, puisqu’on avait jusqu’alors perdu sa trace. En remontant les rares pistes laissées par Dick May, on retrace la naissance d’une dreyfusarde engagée. Comment cette femme, juive et autodidacte, réussit-elle à devenir une figure incontournable dans les réseaux intellectuels du Paris de la Belle Époque ?
Avec une préface de Vincent Duclert.
Cet ouvrage est issu d’une recherche lauréate du prix de la Fondation Jean-Jaurès en 2017.
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2019 ![]()
Domaine :
Histoire |
Histoire contemporaine Collection : Hors collection (histoire) ![]() Format : 14 x 20,5 cm ISBN : 978-2-7535-7622-3
Disponibilité : en librairie |
Préface de Vincent Duclert
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4e de couverture (Fichier pdf, 27 Ko)
Normalienne, agrégée d’histoire, Mélanie Fabre (EHESS/CESPRA) rédige actuellement une thèse dirigée par Vincent Duclert (EHESS/CESPRA) où elle retrace l’engagement d’intellectuelles dans les débats sur l’éducation à la Belle Époque.