La politique par correspondance

• Modèles épistolaires
• La lettre, outil du pouvoir
• Espaces politiques de l'épistolaire

«Servi par une problématique pertinente, qui consiste à voir dans la lettre un agent de transformation du réel, une organisation claire et une unité chronologique et géographique, l'ouvrage est cohérent. La politique par correspondance acte une nouvelle manière de travailler les lettres, et l'enquête s'insère pleinement dans l'histoire des cultures politiques.»

Annales, Histoire, Sciences sociales, n°3, année 66, Juillet - Septembre 2011.

«Jean Boutier, Sandro Landi et Olivier Rouchon proposent une synthèse décisive des enjeux relatifs à une approche renouvelée des correspondances politiques comme «acteur[s] politique[s]» et de leur élaboration comme processus historique à part entière. La Politique par correspondance. Les Usages politiques de la lettre en Italie (XIVe-XVIIIe siècle) vient donc jeter des bases solides pour une réflexion renouvelée sur l'épistolarité politique, aujourd'hui devenue indispensable, et se pose comme un ouvrage de référence dans un champ historiographique en pleine constitution.»

Dix-septième siècle, Comptes rendus, n°257, 2012/4

«C'est en reprenant les apports d'une istoriographie plus ancienne et plus féconde sur les autres types de correspondance que La Politique par correspondance. Les Usages politiques de la lettre en Italie (XIVe-XVIIIe siècle) propose plusieurs études sur l'épistolarité politique et ce dans le cadre d'une vaste période qui, à l'image de son objet, dépasse donc les bores de la seule période moderne.»

GELLARD Matthieu, revue XVIIe siècle